Deuxième craquage chez Paul Beuscher en quelques mois : après un piano, c’est une guitare électrique qui a rejoint la famille. Beau magasin, plein de choix, et on peut tester les instruments sans se faire juger (même quand on joue le solo de 'no woman no cry' pour la 40e fois).
Mais bon… côté service client, petite corde désaccordée. Deux achats costauds, et pas le moindre petit geste commercial. Même pas de clé Allen de réglage ou un bras de vibrato — que je pensais inclus — du coup ma guitare ne pourra pas faire "Wouiiiin" avant un supplément. Bon, j’ai eu trois médiators… sur 1000 euros dépensés. Je les ai encadrés au mur à côté de mal nouvelle guitare pour pas les perdre.
Je chipote ? Peut-être. Mais face aux douces mélodies des sites en ligne, nous, acheteurs compulsifs physiques, avons besoin de petites attentions. Une caresse dans le sens des frettes, quoi.